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Bulletin paroissial d’Informations du 26 Jan au 01 Fév. 2020 n°139
E-mail: p.sacrecoeurrdc@gmail.com
PREMIÈRE LECTURE
« L’obéissance vaut mieux que le sacrifice ; le Seigneur t’a rejeté : tu ne seras plus roi ! » (1 S 15, 16-23)
Lecture du premier livre de Samuel
En ces jours-là, Samuel dit à Saül :
« Assez ! Je vais t’apprendre ce que le Seigneur m’a dit pendant la nuit. »
Saül lui dit :
« Parle. »
Alors Samuel déclara : « Toi qui reconnaissais ta petitesse, n’es-tu pas devenu le chef des tribus d’Israël, puisque le Seigneur t’a donné l’onction comme roi sur Israël ?
Il t’a envoyé en campagne et t’a donné cet ordre : “Va, et voue à l’anathème ces impies d’Amalécites, fais-leur la guerre jusqu’à l’extermination.”
Pourquoi n’as-tu pas obéi à la voix du Seigneur ?
Pourquoi t’es-tu jeté sur le butin ?
Pourquoi as-tu fait ce qui est mal aux yeux du Seigneur ? »
Saül répondit à Samuel :
« Mais j’ai obéi à la voix du Seigneur ! Je suis allé là où il m’envoyait, j’ai ramené Agag, roi d’Amalec, et j’ai voué Amalec à l’anathème.
Dans le butin, le peuple a choisi
le meilleur de ce qui était voué à l’anathème,
petit et gros bétail,
pour l’offrir en sacrifice au Seigneur ton Dieu, à Guilgal. »
Samuel répliqua :
« Le Seigneur aime-t-il les holocaustes et les sacrifices autant que l’obéissance à sa parole ? Oui, l’obéissance vaut mieux que le sacrifice, la docilité vaut mieux que la graisse des béliers. La révolte est un péché comme la divination ; la rébellion est une faute comme la consultation des idoles. Parce que tu as rejeté la parole du Seigneur, lui aussi t’a rejeté : tu ne seras plus roi ! »
– Parole du Seigneur.
PSAUME
(Ps 49 (50), 7ac-8, 16bc-17, 21, 23)
R/ À celui qui veille sur sa conduite,
je ferai voir le salut de Dieu. (cf. Ps 49, 23cd)
« Écoute, mon peuple, je parle. Moi, Dieu, je suis ton Dieu ! Je ne t’accuse pas pour tes sacrifices ; tes holocaustes sont toujours devant moi.
« Qu’as-tu à réciter mes lois, à garder mon alliance à la bouche, toi qui n’aimes pas les reproches et rejettes loin de toi mes paroles ?
« Voilà ce que tu fais ; garderai-je le silence ?
« Penses-tu que je suis comme toi ? Je mets cela sous tes yeux, et je t’accuse.
« Qui offre le sacrifice d’action de grâce, celui-là me rend gloire : sur le chemin qu’il aura pris, je lui ferai voir le salut de Dieu. »
ÉVANGILE
« L’Époux est avec eux » (Mc 2, 18-22)
Alléluia. Alléluia.
Elle est vivante, énergique, la parole de Dieu ;
elle juge des intentions et des pensées du cœur.
Alléluia. (cf. He 4, 12)
Évangile de Jésus Christ selon saint Marc
En ce temps-là, comme les disciples de Jean le Baptiste et les pharisiens jeûnaient, on vint demander à Jésus :
« Pourquoi, alors que les disciples de Jean et les disciples des Pharisiens jeûnent, tes disciples ne jeûnent-ils pas ? »
Jésus leur dit :
« Les invités de la noce pourraient-ils jeûner, pendant que l’Époux est avec eux ? Tant qu’ils ont l’Époux avec eux, ils ne peuvent pas jeûner.
Mais des jours viendront où l’Époux leur sera enlevé ; alors, ce jour-là, ils jeûneront.
Personne ne raccommode un vieux vêtement avec une pièce d’étoffe neuve ; autrement le morceau neuf ajouté tire sur le vieux tissu et la déchirure s’agrandit.
Ou encore, personne ne met du vin nouveau dans de vieilles outres ; car alors, le vin fera éclater les outres, et l’on perd à la fois le vin et les outres.
À vin nouveau, outres neuves. »
– Acclamons la Parole de Dieu.
Le Saint du Jour est une liste quotidienne des Saints gardés dans la mémoire de l’Église. Les histoires des maîtres de la vie chrétienne de tous les temps qui comme des phares radieux orientent notre chemin.
SAINT FABIEN, PAPE ET MARTYR
Pape pendant 14 ans, Fabien entretient les rapports avec les chrétiens d’Orient; il divise Rome en sept diaconies pour l’assistance aux pauvres. Lors des persécutions de Dèce, Fabien est emprisonné et meurt de faim en 250. Il est vénéré en martyr dans le cimetière de Saint Calixte sur la via Appia.
SAINT SÉBASTIEN, MARTYR Né à Milan, il devient un officier supérieur de l’armée impériale, estimé pour ses capacités par Dioclétien, qui ne soupçonnait pas qu’il fût chrétien. Il aide en cachette les chrétiens emprisonnés et convertit militaires et nobles. Découvert, il est condamné et flagellé à mort.
Le Saint du Jour est une liste quotidienne des Saints gardés dans la mémoire de l’Église. Les histoires des maîtres de la vie chrétienne de tous les temps qui comme des phares radieux orientent notre chemin.
SAINT GERMANICUS, MARTYR DE PHILADELPHIE
Jeune disciple de S. Polycarpe, il est l’un des 11 chrétiens de Philadelphie, dans la Turquie actuelle, donnés en nourriture aux bêtes fauves pendant les persécutions au IIème siècle. Invité à renier sa foi il exhorte avec d’avantage de force ses compagnons à donner leur vie pour Jésus.
SAINT JEAN , ÉVÊQUE DE RAVENNE
Alors que tout le pays est ravagé par la guerre contre les Lombard, à Ravenne c’est Jean, un saint évêque, qui s’occupe remarquablement des nécessités de son peuple et de son Eglise. Le Pape Grégoire le Grand lui envoie le livre de la Règle pastorale. Il meurt en 595.
SAINTS MARIUS, MARTHE, AUDIFAX ET ABACHUM, MARTYRS À ROME SUR LA VIA CORNELIA
C’est ce samedi 18 janvier que débute la semaine de prière pour l’unité des chrétiens, qui s’achèvera le 25 janvier prochain. Chaque année, depuis 1908, elle rassemble dans la prière des chrétiens de toutes confessions, autour d’un thème particulier. L’édition 2020 s’articule autour du verset «Ils nous témoignèrent une humanité peu ordinaire» (Ac 28,2), donnant l’occasion de réfléchir aux vertus œcuméniques de l’hospitalité.
Adélaïde Patrignani – Cité du Vatican
Cette année, le thème et les textes ont été préparés par les Églises chrétiennes de Malte et Gozo, en collaboration avec un comité international composé de représentants du Conseil Pontifical pour la promotion de l’unité des chrétiens et de la Commission « Foi et Constitution » du Conseil œcuménique des Églises.
Accueillir l’étranger
Intitulé «Ils nous ont témoigné une humanité peu ordinaire» (Ac 28,2), l’ensemble de ces textes repose sur le passage biblique relatant le naufrage de saint Paul à Malte (Ac 27,18 – 28,10). Dans la liturgie et les réflexions pour la Semaine de prière pour l’unité des chrétiens, plusieurs thèmes sont ainsi mis en lumière : l’hospitalité, la foi en la Providence divine, la réconciliation, le discernement, l’espérance, la confiance, la force, la conversion et la générosité. Un schéma de célébration œcuménique est ainsi établi: chaque jour de la semaine, des extraits de la Parole de Dieu, une réflexion et une prière sont proposés autour d’un des aspects précédemment cités (“Espérance : Le message de Paul”, “Conversion : Changer nos cœurs et nos esprits”…).
Outre la nécessité d’être accueillants envers les autres chrétiens, «les chrétiens travaillant ensemble peuvent faire plus pour offrir l’hospitalité à de nombreux migrants et réfugiés qui se lancent aujourd’hui dans un voyage aussi dangereux que celui de saint Paul», souligne le Conseil Pontifical pour la promotion de l’unité des chrétiens. Ainsi, cette semaine de prière devient l’occasion de tourner son regard et son cœur vers le défi de l’accueil des migrants.
PREMIÈRE LECTURE
« Je fais de toi la lumière des nations pour que mon salut parvienne jusqu’aux extrémités de la terre » (Is 49, 3.5-6)
Le Seigneur m’a dit : « Tu es mon serviteur, Israël, en toi je manifesterai ma splendeur. » Maintenant le Seigneur parle, lui qui m’a façonné dès le sein de ma mère pour que je sois son serviteur, que je lui ramène Jacob, que je lui rassemble Israël. Oui, j’ai de la valeur aux yeux du Seigneur, c’est mon Dieu qui est ma force. Et il dit : « C’est trop peu que tu sois mon serviteur pour relever les tribus de Jacob, ramener les rescapés d’Israël : je fais de toi la lumière des nations, pour que mon salut parvienne jusqu’aux extrémités de la terre. » – Parole du Seigneur.
PSAUME
(Ps 39 (40), 2abc.4ab, 7-8a, 8b-9, 10cd.11cd)
R/ Me voici, Seigneur,
je viens faire ta volonté. (cf. Ps 39, 8a.9a)
D’un grand espoir j’espérais le Seigneur : il s’est penché vers moi Dans ma bouche il a mis un chant nouveau, une louange à notre Dieu. Tu ne voulais ni offrande ni sacrifice, tu as ouvert mes oreilles ; tu ne demandais ni holocauste ni victime, alors j’ai dit : « Voici, je viens. » Dans le livre, est écrit pour moi ce que tu veux que je fasse. Mon Dieu, voilà ce que j’aime : ta loi me tient aux entrailles. Vois, je ne retiens pas mes lèvres, Seigneur, tu le sais. J’ai dit ton amour et ta vérité à la grande assemblée.
DEUXIÈME LECTURE
« À vous, la grâce et la paix, de la part de Dieu notre Père et du Seigneur Jésus Christ » (1 Co 1, 1-3)
Paul, appelé par la volonté de Dieu pour être apôtre du Christ Jésus, et Sosthène notre frère, à l’Église de Dieu qui est à Corinthe, à ceux qui ont été sanctifiés dans le Christ Jésus et sont appelés à être saints avec tous ceux qui, en tout lieu, invoquent le nom de notre Seigneur Jésus Christ, leur Seigneur et le nôtre. À vous, la grâce et la paix, de la part de Dieu notre Père et du Seigneur Jésus Christ. – Parole du Seigneur.
ÉVANGILE
« Voici l’Agneau de Dieu, qui enlève le péché du monde » (Jn 1, 29-34)
Alléluia. Alléluia.
« Le Verbe s’est fait chair,
il a établi parmi nous sa demeure.
À tous ceux qui l’ont reçu,
il a donné de pouvoir devenir enfants de Dieu. »
Alléluia. (cf. Jn 1, 14a.12a)
En ce temps-là, voyant Jésus venir vers lui, Jean le Baptiste déclara : « Voici l’Agneau de Dieu, qui enlève le péché du monde ; c’est de lui que j’ai dit : L’homme qui vient derrière moi est passé devant moi, car avant moi il était. Et moi, je ne le connaissais pas ; mais, si je suis venu baptiser dans l’eau, c’est pour qu’il soit manifesté à Israël. » Alors Jean rendit ce témoignage : « J’ai vu l’Esprit descendre du ciel comme une colombe et il demeura sur lui. Et moi, je ne le connaissais pas, mais celui qui m’a envoyé baptiser dans l’eau m’a dit : ‘Celui sur qui tu verras l’Esprit descendre et demeurer, celui-là baptise dans l’Esprit Saint.’ Moi, j’ai vu, et je rends témoignage : c’est lui le Fils de Dieu. »
– Acclamons la Parole de Dieu.
Lecture du premier livre de Samuel (1 S 9, 1-4.10c.17-19 ; 10, 1)
Il y avait dans la tribu de Benjamin un homme appelé Kish. C’était un homme de valeur. Il avait un fils appelé Saül, qui était jeune et beau. Aucun fils d’Israël n’était plus beau que lui, et il dépassait tout le monde de plus d’une tête. Les ânesses appartenant à Kish, père de Saül, s’étaient égarées.
Kish dit à son fils Saül :
« Prends donc avec toi l’un des serviteurs, et pars à la recherche des ânesses. »
Ils traversèrent la montagne d’Éphraïm, ils traversèrent le pays de Shalisha sans les trouver ; ils traversèrent le pays de Shaalim : elles n’y étaient pas ; ils traversèrent le pays de Benjamin sans les trouver.
Alors ils allèrent à la ville où se trouvait l’homme de Dieu.
Quand Samuel aperçut Saül, le Seigneur l’avertit :
« Voilà l’homme dont je t’ai parlé ; c’est lui qui exercera le pouvoir sur mon peuple. »
Saül aborda Samuel à l’entrée de la ville et lui dit : « Indique-moi, je t’en prie, où est la maison du voyant. »
Samuel répondit à Saül :
« C’est moi le voyant. Monte devant moi au lieu sacré. Vous mangerez aujourd’hui avec moi. Demain matin, je te laisserai partir
et je te renseignerai sur tout ce qui te préoccupe. »
Le lendemain, Samuel prit la fiole d’huile et la répandit sur la tête de Saül ; puis il l’embrassa et lui dit : « N’est-ce pas le Seigneur
qui te donne l’onction comme chef sur son héritage ? »
Évangile de Jésus Christ selon saint Marc (Mc 2, 13-17)
En ce temps-là, Jésus sortit de nouveau le long de la mer ; toute la foule venait à lui, et il les enseignait.
En passant, il aperçut Lévi, fils d’Alphée, assis au bureau des impôts.
Il lui dit : « Suis-moi. »
L’homme se leva et le suivit.
Comme Jésus était à table dans la maison de Lévi, beaucoup de publicains (c’est-à-dire des collecteurs d’impôts) et beaucoup de pécheurs
vinrent prendre place avec Jésus et ses disciples, car ils étaient nombreux à le suivre.
Les scribes du groupe des pharisiens, voyant qu’il mangeait avec les pécheurs et les publicains, disaient à ses disciples :
« Comment ! Il mange avec les publicains et les pécheurs ! »
Jésus, qui avait entendu, leur déclara :
« Ce ne sont pas les gens bien portants qui ont besoin du médecin, mais les malades. Je ne suis pas venu appeler des justes,
mais des pécheurs. »