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samedi, 4ème Semaine du Temps Ordinaire — Année Paire
S. Jérôme Émilien, fondateur et Ste Joséphine Bakhita, vierge
Mémoire facultative
PREMIÈRE LECTURE
« Donne à ton serviteur un cœur attentif pour qu’il sache gouverner ton peuple » (1 R 3, 4-13)
Lecture du premier livre des Rois
En ces jours-là, le roi Salomon se rendit à Gabaon, qui était alors le lieu sacré le plus important, pour y offrir un sacrifice ; il immola sur l’autel un millier de bêtes en holocauste.
À Gabaon, pendant la nuit, le Seigneur lui apparut en songe. Dieu lui dit : « Demande ce que je dois te donner. »
Salomon répondit : « Tu as traité ton serviteur David, mon père, avec une grande fidélité, lui qui a marché en ta présence dans la loyauté, la justice et la droiture de cœur envers toi.
Tu lui as gardé cette grande fidélité, tu lui as donné un fils qui est assis maintenant sur son trône.
Ainsi donc, Seigneur mon Dieu, c’est toi qui m’as fait roi, moi, ton serviteur, à la place de David, mon père ; or, je suis un tout jeune homme, ne sachant comment se comporter, et me voilà au milieu du peuple que tu as élu ; c’est un peuple nombreux, si nombreux qu’on ne peut ni l’évaluer ni le compter.
Donne à ton serviteur un cœur attentif pour qu’il sache gouverner ton peuple et discerner le bien et le mal ; sans cela, comment gouverner ton peuple, qui est si important ? »
Cette demande de Salomon plut au Seigneur, qui lui dit : « Puisque c’est cela que tu as demandé, et non pas de longs jours, ni la richesse, ni la mort de tes ennemis, mais puisque tu as demandé le discernement, l’art d’être attentif et de gouverner, je fais ce que tu as demandé :
je te donne un cœur intelligent et sage, tel que personne n’en a eu avant toi et que personne n’en aura après toi.
De plus, je te donne même ce que tu n’as pas demandé, la richesse et la gloire, si bien que pendant toute ta vie tu n’auras pas d’égal parmi les rois. »
– Parole du Seigneur.
PSAUME
(Ps 118 (119), 9-10, 11-12, 13-14)
R/ Seigneur, apprends-moi tes commandements. (Ps 118, 12b)
Comment, jeune, garder pur son chemin ? En observant ta parole.
De tout mon cœur, je te cherche ; garde-moi de fuir tes volontés.
Dans mon cœur, je conserve tes promesses pour ne pas faillir envers toi.
Toi, Seigneur, tu es béni : apprends-moi tes commandements.
Je fais repasser sur mes lèvres chaque décision de ta bouche.
Je trouve dans la voie de tes exigences plus de joie que dans toutes les richesses.
ÉVANGILE
« Ils étaient comme des brebis sans berger » (Mc 6, 30-34)
Alléluia. Alléluia.
Mes brebis écoutent ma voix, dit le Seigneur ; moi, je les connais, et elles me suivent.
Alléluia. (Jn 10, 27)
Évangile de Jésus Christ selon saint Marc
En ce temps-là, les Apôtres se réunirent auprès de Jésus, et lui annoncèrent tout ce qu’ils avaient fait et enseigné. Il leur dit : « Venez à l’écart dans un endroit désert, et reposez-vous un peu. »
De fait, ceux qui arrivaient et ceux qui partaient étaient nombreux, et l’on n’avait même pas le temps de manger. Alors, ils partirent en barque pour un endroit désert, à l’écart. Les gens les virent s’éloigner, et beaucoup comprirent leur intention. Alors, à pied, de toutes les villes, ils coururent là-bas et arrivèrent avant eux. En débarquant, Jésus vit une grande foule. Il fut saisi de compassion envers eux, parce qu’ils étaient comme des brebis sans berger. Alors, il se mit à les enseigner longuement.
– Acclamons la Parole de Dieu.
Le Saint du Jour est une liste quotidienne des Saints gardés dans la mémoire de l’Église. Les histoires des maîtres de la vie chrétienne de tous les temps qui comme des phares radieux orientent notre chemin.
SAINT JÉRÔME EMILIEN, FONDATEUR DES CLERCS RÉGULIERS DE SOMASQUE, PATRON DES ORPHELINS
«Commence dès maintenant à être ce que tu seras demain»
Quatrième enfant de la noble famille déchue des Emiliani, comme tous les jeunes vénitiens du XVI Jérôme rêvait la carrière militaire, aussi parce que c’était la plus rémunératrice. On sait très peu de choses sur sa vie avant l’enrôlement en 1509; cependant, on sait qu’â l’âge d’environ dix ans, son père se donna la mort.
La prison et la conversion
En 1511, lors du siège de Castelnuovo de Quero, au bord du Piave, il est fait prisonnier par l’ennemi et l’expérience de la détention, même si elle n’a duré que trente jours, le transforme profondément. Dans la faim, la douleur, la peur pour sa vie, Jérôme retrouve les mots pour prier et adresse ses requêtes spécifiquement à la Vierge Marie, à laquelle il promet de se convertir en échange de la liberté. Une fois sorti de prison il trouve refuge à Trévise, mais il n’oublie pas le vœu fait à la Vierge Marie et, en se confiant à un prêtre et en commençant aussi à lire la Bible, il commence à changer son cœur.
Au service des derniers
La première occasion que Jérôme trouve pour mettre en pratique son nouvel être est l’épidémie de peste qui frappe Venise en 1528. Avec un groupe de volontaires il parcourt la ville pour porter réconfort aux malades, auxquels il consacre tous ses biens. Lui-même est contaminé par la maladie, mais il en guérit prodigieusement. Il commence ainsi son cheminement de charité qui sera toujours adressée aux plus besogneux, mais tout d’abord aux orphelins.
Consacrer sa vie aux orphelins
Quand son frère Luc meurt en laissant orphelins ses trois, neveux, Jérôme en prend la charge, et c’est là que naît l’ intuitions de sa vie: créer une association qui s’occupe expressément des jeunes restés sans famille et se charge de leur instruction. C’est ainsi qu’en 1533 naît à Bergame la Compagnie des Serviteurs des Pauvres, engagés dans la défense des orphelins de guerre, les plus faibles et sans-défense parmi les derniers; pour eux, Jérôme crée une école d’arts et métiers à laquelle il adjoint l’enseignement du catéchisme suivant une méthode innovatrice à l’époque qui avait comme programme fondamental prière et travail, les points cardinaux qui anoblissent l’homme.
La mort et la diffusion de l’œuvre
La Compagnie de originale deviendra ensuite Congrégation, jusqu’au moment où Pie V l’élèvera en 1568 au rang d’Ordre, dont les religieux seront appelés Clercs Réguliers de Somasque, du nom de la localité que l’archevêque de Milan avait confiée à Jérôme et d’où tout était parti. Dans le charisme des Somasques il y a la dévotion à Marie, vénérée comme «Mater orphanorum». Cependant , Jérôme à ce moment était déjà mort de la peste en 1537. Canonisé en 1767, depuis 1928 il est le Saint Patron de la jeunesse abandonnée.
SAINTE JOSÉPHINE BAKHITA, VIERGE
Cette fillette n’avait jamais porté un vêtement depuis le jour où deux individus louches avaient débouché du néant dans les champs en lui barrant le passage et en lui braquant un coutelas au flanc, pour ensuite l’enlever comme on vole une poule d’un poulailler. Ce jour où sa vie est entrée dans un cauchemar, cette fillette de 9 ans, par la peur, oublie tout, jusqu’à son propre nom, celui de maman et papa avec qui elle vivait sereine.
Esclave
Ainsi les marchands arabes d’esclaves y pensent, non pas à la vêtir mais à la rebaptiser. Ils l’appellent «Bakhita», «chanceuse». Atroce dérision pour cette petite née en 1869 dans un village du Darfour, au Sud Soudan, devenue maintenant simple marchandise humaine qui passe de main en main sur les marchés de El Obeid et Khartoum. Un jour, alors qu’elle est au service d’un général turc, on lui inflige un «tatouage» à l’aide d’une lame sur le corps, 114 scarifications, et recouvertes de sel pour qu’elles restent ainsi bien visibles…
La lumière
Bakhita survit à tout et un jour un rayon de lumière illumine l’enfer. Calixte Legnami, agent consulaire l’achète des mains des trafiquants de Khartoum et ce jour là Bakhita-Chanceuse porte pour la première fois un vêtement, entre dans une maison, la porte est fermée et ainsi les 10 ans de brutalités inexprimables restent sur le seuil. Cette oasis dure deux ans quand le fonctionnaire italien, qui la traite avec affection, est contraint à regagner son pays sous la pression de la révolution mahdiste. Bakhita se souviendra de ce moment: « J’ai osé le prier de m’emmener avec lui en Italie ».Calixte Legnami accepte et en 1884 Bakhita débarque sur la péninsule où un destin inimaginable attend la petite ex-esclave. Elle devient la nurse d’Alice, la fille des époux Michieli, amis des Legnami qui habitent à Zianigo, bourgade de Mirano Veneto.
Sœur «Moretta Petite Noire»
En 1888 le couple chez qui elle vit doit partir pour l’Afrique et pendant 9 mois Bakhita et Alice sont confiées aux Sœurs Canossiennes de Venise. Après le corps, Bakhita commence à revêtir aussi son âme. Elle connaît Jésus, apprend le catéchisme et le 9 janvier 1890 Bakhita reçoit le baptême, la confirmation et la première communion des mains du patriarche de Venise avec comme prénoms Joséphine, Marguerite, Chanceuse. En 1893 elle entre au noviciat des Canossiennes et trois ans après elle prononce les vœux et pendant 45 ans elle sera cuisinière, sacristine et surtout portière du couvent de Schio, où elle apprendra à connaître les gens et les gens à apprécier son doux sourire, sa bonté et la foi de cette « Morèta », « Moretta (petite Noire) et les petits garçons à blaguer avec elle en disant vouloir goûter la suora di cioccolata « la sœur de chocolat ».
J’embrasse les mains aux négriers
Pour toute la ville de Schio c’est une journée de deuil lorsque Joséphine Bakhita meurt le 8 février 1947 à cause dune pneumonie. Chanceuse, sa vie l’a vraiment été, elle le dira elle-même: «Si je rencontrais ces négriers qui m’ont enlevée et aussi ceux qui m’ont torturée, je me mettrais à genoux pour leur embrasser les mains, car si ceci ne fût pas arrivé, je ne serais pas chrétienne et religieuse ».
PREMIÈRE LECTURE
Lecture du livre de Ben Sira le Sage
Dans le sacrifice de communion,on met à part la graisse des animaux offerts à Dieu ; ainsi David a été mis à part entre les fils d’Israël.
Il a joué avec les lions comme si c’étaient des chevreaux, et avec les ours comme avec des agneaux.
N’était-il pas tout jeune quand il a tué le géant et supprimé la honte de son peuple, lorsqu’il lança la pierre de sa fronde et abattit l’arrogance de Goliath ? Il invoqua le Seigneur Très-Haut qui a mis dans sa main la vigueur pour supprimer le puissant guerrier et pour exalter la force de son peuple.
C’est pourquoi on lui a fait gloire des dizaines de milliers qu’il a tués : on l’a célébré en bénissant le Seigneur quand on lui a donné la glorieuse couronne royale.
En effet, il a détruit les ennemis alentour, il a anéanti ses adversaires philistins, il a détruit leur force comme on le voit encore aujourd’hui.
Dans tout ce qu’il a fait, il a célébré la louange du Saint, du Très-Haut, en proclamant sa gloire.
De tout son cœur, il a chanté les psaumes, il a aimé son Créateur.
Devant l’autel, il a placé des chantres, et leur voix rendit les mélodies plus douces ; chaque jour ils loueront Dieu par leurs chants.
Il a donné de l’éclat aux fêtes, il a donné une parfaite splendeur aux solennités, pour que le saint nom du Seigneur soit célébré, et que les chants retentissent dans le sanctuaire dès le matin.
Le Seigneur a enlevé les péchés de David, il a pour toujours exalté sa force, il a fondé sur lui l’Alliance avec sa dynastie, le trône de gloire d’Israël.
– Parole du Seigneur.
PSAUME
R/ Béni soit Dieu, mon Sauveur ! (cf. Ps 17, 47)
Notre Dieu a des chemins sans reproche, la parole du Seigneur est sans alliage, il est un bouclier pour qui s’abrite en lui.
C’est le Dieu qui m’emplit de vaillance.
Vive le Seigneur ! Béni soit mon Rocher ! Qu’il triomphe, le Dieu de ma victoire. Aussi, je te rendrai grâce parmi les peuples, Seigneur, je fêterai ton nom.
Qui est Dieu, hormis le Seigneur ? Il donne à son roi de grandes victoires, il se montre fidèle à son messie, à David et sa descendance, pour toujours.
ÉVANGILE
Alléluia. Alléluia.
Heureux ceux qui ont entendu la Parole
dans un cœur bon et généreux,
qui la retiennent et portent du fruit par leur persévérance.
Alléluia. (cf. Lc 8, 15)
Évangile de Jésus Christ selon saint Marc
En ce temps-là, comme le nom de Jésus devenait célèbre, le roi Hérode en entendit parler.
On disait : « C’est Jean, celui qui baptisait : il est ressuscité d’entre les morts, et voilà pourquoi des miracles se réalisent par lui. »
Certains disaient : « C’est le prophète Élie. »
D’autres disaient encore : « C’est un prophète comme ceux de jadis. »
Hérode entendait ces propos et disait : « Celui que j’ai fait décapiter, Jean, le voilà ressuscité ! »
Car c’était lui, Hérode, qui avait donné l’ordre d’arrêter Jean et de l’enchaîner dans la prison, à cause d’Hérodiade, la femme de son frère Philippe, que lui-même avait prise pour épouse.
En effet, Jean lui disait : « Tu n’as pas le droit de prendre la femme de ton frère. »
Hérodiade en voulait donc à Jean, et elle cherchait à le faire mourir.
Mais elle n’y arrivait pas parce que Hérode avait peur de Jean : il savait que c’était un homme juste et saint, et il le protégeait ; quand il l’avait entendu, il était très embarrassé ; cependant il l’écoutait avec plaisir.
Or, une occasion favorable se présenta quand, le jour de son anniversaire, Hérode fit un dîner pour ses dignitaires, pour les chefs de l’armée et pour les notables de la Galilée.
La fille d’Hérodiade fit son entrée et dansa. Elle plut à Hérode et à ses convives. Le roi dit à la jeune fille : « Demande-moi ce que tu veux, et je te le donnerai. »
Et il lui fit ce serment : « Tout ce que tu me demanderas, je te le donnerai, même si c’est la moitié de mon royaume. »
Elle sortit alors pour dire à sa mère : « Qu’est-ce que je vais demander ? »
Hérodiade répondit : « La tête de Jean, celui qui baptise. »
Aussitôt la jeune fille s’empressa de retourner auprès du roi, et lui fit cette demande : « Je veux que, tout de suite, tu me donnes sur un plat la tête de Jean le Baptiste. »
Le roi fut vivement contrarié ; mais à cause du serment et des convives, il ne voulut pas lui opposer un refus.
Aussitôt il envoya un garde avec l’ordre d’apporter la tête de Jean.
Le garde s’en alla décapiter Jean dans la prison.
Il apporta la tête sur un plat, la donna à la jeune fille, et la jeune fille la donna à sa mère.
Ayant appris cela, les disciples de Jean vinrent prendre son corps et le déposèrent dans un tombeau.
– Acclamons la Parole de Dieu.
Le Saint du Jour est une liste quotidienne des Saints gardés dans la mémoire de l’Église. Les histoires des maîtres de la vie chrétienne de tous les temps qui comme des phares radieux orientent notre chemin.
SAINT RICHARD
Noble anglais, vécut au VIII siècle, père de trois saints: Villibaldo, Vunibaldo et Valburga, évangélisateurs en Allemagne. Homme de prière, avec une dévotion pour la Sainte Famille. Pèlerin à Rome, il meurt sur le chemin du retour à Lucques, où il est enterré dans la basilique de S. Frediano.
BIENHEUREUX PIE IX, PAPE
Les Sœurs Missionnaires de la Charité est une famille religieuse internationale de droit pontifical fondée par Sainte Teresa de Calcutta en 1950, composée de deux branches (active et contemplative), qui émettent des vœux perpétuels de chasteté, de pauvreté, d’obéissance et de service total et gratuit aux plus pauvres.
Le but de la congrégation est d’étancher la soif infinie de Jésus-Christ sur la Croix pour l’amour et les âmes, par une vie régie par quatre vœux, dans un esprit de confiance amoureuse, d’abandon total et de bonne humeur, conduisant chacun à l’amour parfait de Dieu et du prochain et rendant l’Eglise pleinement présente dans le monde d’aujourd’hui.
Nous les retrouvons à travers le monde avec plus de 757 maisons dans plus de 134 pays dont la République Démocratique du Congo. A Kinshasa, elles sont installées dans les communes de Limete et de Kimbanseke. Leur apostolat est de travailler au salut et à la sanctification des plus pauvres des pauvres, non seulement dans les bidonvilles, mais aussi partout où ils peuvent être à travers le monde, en mettant l’amour de Dieu dans une action vivante.
Cet apostolat se résume plus concrètement de la manière suivante :
Pierrot Bura
Les Kizito et Anuarité du clan Sacré-Cœur ont respecté la tradition qui veut qu’au début de chaque année ils se réunissent pour l’échange des vœux. Le dimanche 26 janvier 2020, le groupe KA du clan Sacré-Cœur a en effet organisé une journée d’échanges des vœux et des cadeaux. C’est par une Eucharistie d’action de grâce que la journée a débuté. Après la messe de 9h 30, les Kizito et Anuarité ont envahi la salle paroissiale pour la cérémonie proprement dite. La journée des KA a connu trois moments forts : le discours du Coordonnateur, la cérémonie d’échange des vœux et des cadeaux pour se clôturer par l’agapè fraternel.
Le ton de la cérémonie a été donné par la prière d’ouverture dite par le Père Christian Ndoki, sj, Mapera du clan. Dans son discours, le Coordonnateur du clan, Ya mukasa Joe Benie Unyon-Pewu a procédé au lancement des activités de la nouvelle année pastorale 2019-2020. Le Coordonateur a exhorté les KA à viser haut, à se donner plus et à faire beaucoup plus. Il a invité tous les encadreurs à se surpasser afin de donner le meilleur d’eux-mêmes comparativement aux années précédentes. Il les a encouragés à bien poursuivre leur travail dans le champ du Seigneur. Il a brièvement présenté les activités de la coordination restreinte de l’année initiatique 2019-2020.
Pour l’échange des cadeaux entre les membres, il a été procédé par le tirage au sort à la grande satisfaction des enfants. Chacun d’eux, avec un sourire aux lèvres et un cœur rempli d’élan de générosité, a passé un merveilleux moment de détente et de communion fraternelle. Pour joindre l’utile à l’agréable, les convives ont esquissé des pas de danse suivant un coussinet musical choisi pour l’occasion. Un agapè a clôturé la journée et renforcé les liens fraternels au sein du groupe.
Ya Mukasa Beni Ngongo
La cérémonie annuelle au cours de laquelle tous les lecteurs de la Paroisse et leurs invités se retrouvent pour prier ensemble et échanger des vœux et des cadeaux, dans une ambiance fraternelle, festive et ludique a eu lieu le dimanche 5 janvier 2020. Le Président du groupe a présenté ses vœux et a proposé les lignes directrices pour la nouvelle année.
Il est de coutume que les lecteurs se réunissent en famille, au domicile d’un des membres du groupe, dans un esprit familial prôné au sein du groupe, surtout pour socialiser, de manière concrète, avec les familles biologiques des lecteurs. Exceptionnellement pour cette année, le groupe s’est réuni au sein du Cepas pour partager ces moments de fraternisation.
Dans son mot de circonstance, le Président a présenté ses vœux les meilleurs à la grande famille des lecteurs et a proposé comme point de méditation un passage extrait du Psaume 100,2 : « Servez l’Eternel avec joie. Venez avec allégresse en sa demeure ». Le Président a ainsi émis le souhait que le lectorat devienne un lieu d’allégresse où le service du Seigneur se fait dans la joie et la bonne humeur ; où chaque lecteur trouve du plaisir à rencontrer ses frères et sœurs dans un esprit d’unité fraternelle et d’abandon total au Seigneur.
Il a ensuite présenté les activités retenues pour le plan pastoral 2019-2020. Il a terminé son allocution en ouvrant officiellement la cérémonie d’échange des vœux et des cadeaux.
Les festivités se sont ensuite poursuivies par le partage d’un repas fraternel suivi de quelques jeux qui ont fort bien agrémenté la circonstance.
Pierrot Bura